« J’ai aimé la présentation du commissaire au Tourisme, Jean-Alain Wong So, qui a souligné avec justesse l’importance de préserver la nature, l’écosystème de Rodrigues, et de favoriser une forte connexion entre les gens. J’ai senti une atmosphère très conviviale dès le départ, et j’ai beaucoup apprécié ma rencontre avec l’ambassadeur américain et son épouse », confie Myriam, visiblement touchée par la chaleur de l’accueil rodriguais.
Les premiers instants du festival ont été marqués par une belle émotion collective, notamment lors du moment symbolique où cerfs-volants et sourires se sont élevés dans le ciel de Mourouk, sous le regard émerveillé des enfants. « Ils étaient tout excités à l’idée de cette compétition, de ce festival. Tout s’est déroulé dans une ambiance fraternelle et joviale », poursuit-elle.
L’ambiance festive et sincère de cette journée l’a profondément marquée : « J’ai été agréablement surprise de voir un prêtre bénir le festival lors d’une cérémonie. C’était un geste fort, un symbole d’unité. Il y avait un très bon esprit fraternel, et on était vraiment dans de belles vibrations, comme celles qui habitent toute cette île si particulière. »
Rodrigues a une fois de plus démontré, dès l’ouverture de son festival, sa capacité à rassembler autour des valeurs de respect, de nature, de sport et de partage.
De notre correspondant en France et Europe
Joey Nicles Modeste
Rodrigues