C'est lors d'un élégant Sundowner Cocktail que s'est dévoilée cette nouvelle adresse culturelle, sous le regard captivé d'une assistance triée sur le volet. Treize artistes y déploient actuellement leurs œuvres, dans un dialogue esthétique où sculptures en bronze, créations en Raku et toiles contemporaines se répondent avec audace.
Cette galerie, neuvième outpost du réseau Adamah Fine Arts à Maurice, s'inscrit avec subtilité dans l'architecture épurée du Palace. « Notre démarche transcende la simple exposition éphémère », confie au Figaro Patrice Landrein, directeur général du Royal Palm. « Nous aspirons à créer un véritable sanctuaire artistique où l'émotion esthétique prolonge naturellement l'expérience hôtelière d'exception. »
Le choix d'Adamah Fine Arts comme partenaire ne doit rien au hasard. Cette institution mauricienne s'est imposée comme défricheur de talents, oscillant habilement entre figures internationales consacrées – Mariela Garibay, Jorge Marin – et créateurs locaux prometteurs. Une philosophie qui résonne parfaitement avec l'ADN de Beachcomber, groupe historique de l'hôtellerie de luxe mauricienne, fervent promoteur du patrimoine culturel insulaire.
La rotation régulière des œuvres promet aux habitués du Palace de perpétuelles redécouvertes. Quant aux collectionneurs, ils pourront acquérir leurs coups de cœur et se les faire livrer via le service dédié d'Adamah Fine Arts – ultime raffinement d'un lieu où l'art et le luxe scellent leurs noces en grande pompe.